Notre monde est aujourd’hui secoué de tous bords, et c’est un doux euphémisme ! Entre les transformations sociétales qui s’accélèrent, la pandémie ou la guerre qui frappe aujourd’hui à notre porte, le contexte peut être qualifié d’anxiogène à plus d’un égard. Face à cette réalité, les Français se sentent aujourd’hui « moyennement protégés » pour 63% d’entre eux, selon une enquête que vient de mener le Groupe Aéma.
Des inquiétudes surgissent, notamment autour des sujets de la santé (physique et mentale) et de la vieillesse. Où les individus vont-ils dès lors chercher une réassurance pour avancer plus sereinement ? Auprès de leurs proches, du corps médical, de l’Etat, sans surprise. Mais aussi de leur assureur, qui est le premier acteur économique plébiscité sur le sujet. 42% des Français déclarent ainsi que leurs attentes envers ce dernier ont évolué avec la crise sanitaire. Autant dire que, plus que jamais, le secteur se trouve confronté à ses responsabilités !
Dans le détail, les citoyens placent des attentes envers les assureurs sur trois points :
Afin de répondre à ce degré d’exigence, le monde de l’assurance dispose d’un atout maître : l’innovation. Grâce au pouvoir du digital et de la donnée, les assureurs ont aujourd’hui les moyens de bichonner leurs clients. Les nouvelles technologies leur offrent en effet la possibilité de cerner précisément les attentes et de concocter un service quatre étoiles, à toutes les étapes de la chaîne.
Quant aux sujets de société, de l’accès aux soins à la lutte contre le changement climatique, là aussi, le progrès technologique apparaît déterminant. Reste désormais au secteur à adopter définitivement et avec une profonde conviction cette culture digitale. Elle sera clé dans la réponse à apporter aux enjeux auxquels il fait face.