Choisir une assurance est souvent un moment compliqué. Quand on n’est pas dans le milieu, les questions sont nombreuses. Quelles garanties choisir ? Quel contrat sera le plus rentable ? Et les assureurs doivent se demander ce qui fait pencher les clients vers telle ou telle offre. Une nouvelle étude de FRIDAY menée avec l’IFOP révèle un classement des critères les plus recherchés et appréciés des consommateurs. Pour 42 % des répondants, le rapport qualité-prix est le critère n°1 de choix d’une assurance habitation. Ce pourcentage élevé le place loin, bien loin devant les autres !
Cette étude pointe aussi les quatre critères les plus essentiels dans le choix d’une assurance. Les consommateurs regardent donc le rapport qualité-prix, mais aussi sa simplicité. Les assurés cherchent aussi une assurance qui leur permettra d’être indemnisés rapidement en cas de problème. Ils souhaitent enfin avoir une assurance transparente. Les assureurs doivent donc se caler sur ses quatre attentes principales pour répondre aux désirs de leurs clients.
Cette étude de FRIDAY va plus loin dans l’analyse. Elle s’intéresse en parallèle à la maturité du marché français face aux néo-assureurs. Ces nouveaux venus font grand bruit dans la presse spécialisée, annonçant des révolutions et des innovations chaque semaine. Pourtant, elles ne sont pas encore si populaires !
Malgré ce déficit de notoriété, ces insurtechs attirent de plus en plus de consommateurs avec des arguments de taille : des tarifs accessibles, de la connectivité et de la transparence. Grâce au self-care, les clients peuvent prendre en main leurs propres contrats. Au final, 43% des Français âgés de 18 à 65 ans pourraient être intéressés par les offres des néo-assureurs dans l’absolu.
Si le phénomène insurtech est encore récent, il n’est plus anodin. Certaines entreprises ont déjà une très belle croissance et de nombreux clients. Par exemple, sur le terrain de l’habitation, la pépite Luko a déjà capté plus de 200 000 clients en France ! Chaque semaine, des levées de fonds et des rachats font les gros titres. Qu’on se le dise, le phénomène des néo-assureurs ou assurtechs n’est pas une mode passagère et devrait encore prendre davantage d’ampleur dans les années à venir.
