Un courtier écossais s'essaie au métavers

Un courtier écossais s'essaie au métavers

Alexandre Pengloan
Rédigé par Alexandre Pengloan
21 avril 2022 - 2 minutes

Plus une semaine sans que l’on vous conte une histoire mêlant métavers et assurance ! Aujourd’hui, nous vous embarquons pour l’Ecosse, à la rencontre du courtier digital hubb. Son fondateur Ed Halsey, très actif sur les réseaux sociaux et friand de formats originaux, explique pourquoi et comment il expérimente la découverte du monde virtuel avec ses équipes.

Ed a tout simplement ouvert un espace de travail sur la plateforme Horizon Workroom de Facebook. Grâce à la réalité virtuelle, toutes les personnes peuvent se retrouver et échanger dans ce lieu augmenté. Afin d’évaluer précisément les avantages et limites de l’expérience, Ed a imposé une routine quotidienne d’une heure matin et après-midi dans le métavers. Et il est jusqu’à présent particulièrement séduit.

Pas de compromis entre la spontanéité et le confort du distanciel

« Nous envisageons le métavers comme un moyen de capitaliser sur les avantages du télétravail tout en gommant les désagréments du travail à distance. Pour nous, la VR n’est pas un gadget. Elle permet de n’avoir à faire aucun compromis entre la spontanéité et le flow naturel d’une équipe qui évolue en physique, et le confort que procure le distanciel », précise Ed.

A l’image du projet d’AXA avec The SandBox, hubb expérimente donc le métavers à des fins d’organisation interne… pour le moment ! En effet, Ed Halsey se montre sensible, à l’instar de François Pannecoucke dans nos contrées, à l’idée de réaliser prochainement des rendez-vous clients dans un espace virtuel. Bien conscient d’être au début de l’aventure, il sait que la technologie devra d’abord atteindre un premier stade de maturité avant d’aller plus loin. Toutefois, Ed demeure persuadé d’une chose. En étant le « premier courtier prêt pour le métavers », les bénéfices à long terme seront incalculables !