Sortez les boucliers ! Les hôpitaux connaissent de plus en plus de vagues de cyberattaques notamment depuis l’explosion des technologies connectées. En France, c’est un établissement public sur quatre qui a subi une attaque l’an dernier. Sham, spécialiste de la gestion du risque auprès des acteurs européens de la santé et du médico-social, et Advens, premier pure-player de la cybersécurité, essayent donc de trouver des solutions. Leur objectif ? Apporter des réponses sur le risque réel de l’établissement mais aussi l’accompagner de façon personnalisée face à cette exposition au risque.
« Ce marché totalement novateur se place au service de nos patients et de leur sécurité. Il fournit aux hôpitaux un plan de gestion de crise complet, destiné d’abord à éviter d’être la cible d’un risque cyber, quelle qu’en soit la nature, puis à être protégé en cas d’accident ou d’attaque, explique Charles Guépratte, président d’UniHA – la plus grande coopérative d’acheteurs hospitaliers publics en France. Il fallait bien sûr que cette offre comporte aussi un contrat d’assurance spécifique, couvrant les dommages causés par l’attaque sur les actifs de l’établissement mais également sur les pertes d’exploitation et les dommages causés sur des tiers. »
Cette offre, qui s’adresse en exclusivité aux Groupements hospitaliers de territoire adhérents d’UniHA ou à leur établissement support, se démarque par trois axes forts :
Le risque cyber est aujourd’hui identifié comme l’un des enjeux les plus importants pour les assureurs. En effet, de nombreux domaines sont touchés par ces attaques, dont le secteur de la santé et les hôpitaux. Les acteurs de l’assurance ne restent toutefois pas inactifs et les offres pour adresser ce risque commencent à pointer leur nez sur le marché. Citons notamment Stoïk, Markel ou Swiss Re qui utilisent les nouvelles technologies pour s’armer face à un enjeu dont le dimension systémique ne fait plus aucun doute.
