Le rapport Lucy l’a souligné. Le chantier demeure énorme sur le front du cyber ! Stoïk l’a compris et étoffe son offre pour inciter davantage de petites entreprises, PME et ETI à s’assurer.
La cyber insurtech vient en effet de faire évoluer ses conditions générales. Elle intègre désormais trois nouveaux événements déclencheurs de ses garanties, en plus de l’intrusion malveillante dans les SI.
Dorénavant, Stoïk prendra en compte les erreurs humaines, les fraudes liées à l’ingénierie sociale et les actes malveillants internes.
La startup élargit aussi son champ de couvertures avec la prise en charge des frais d’enquêtes, des sanctions administratives – y compris liées à la norme PCI DSS pour le paiement sécurisé -, ainsi que des coûts d’amélioration des SI à la suite d’une attaque.
Afin d’encourager la prévention, l’insurtech accordera par ailleurs une réduction de 25% sur les franchises aux entreprises équipées des outils réunis sur sa plateforme Stoïk Protect. Des avancées intéressantes, donc, alors que le gap d’assurance demeure énorme sur ce segment de marché.
